lundi 11 juillet 2011

Jeunesse Infos et Partage Hors Série deJuin 2011


JEUNESSE INFOS & PARTAGE
BULLETIN MENSUEL PAROISSIAL
D’INFORMATIONS ET DE PARTAGE DE LA JEUNESSE
DIOCESE DE PORTO-NOVO
PAROISSE SAINTE FAMILLE D’ADJARRA
B.P. 02 ADJARRA / Tél : +229.20.27.40.27
(Hors Série de Juin 2011)

18 Avril 1861 - 18 Juin 2011
Le Doyenné d’Adjarra célèbre
les 150 ans d’Evangélisation du Bénin
Jeune du doyenné d’adjarra
 rends compte de ta foi
 et de ton espérance


EDITORIAL
Frères et sœurs en Christ,
Fils et filles bien aimés de Dieu,
« Le sang des martyrs est la semence des chrétiens ».
Ces propos éminemment historiques et chargés de sens éclairent gravement toute la tradition bimillénaire de l’Eglise. En effet, la fameuse question de l’Evangélisation, première préoccupation du chrétien, doit s’inscrire dans la grande aventure des premiers missionnaires qui ont accepté de verser leur sang, ce sang qui continue de nourrir notre foi aujourd’hui. C’est dans cette perspective que l’Eglise Catholique du Bénin a célébré les 150 ans de son évangélisation, une célébration axée sur la méditation de l’héritage des premiers missionnaires. C’était à Ouidah, à la Porte du Salut, le 10 avril 2011 dernier.
Deux mois après ce jubilée, les fidèles chrétiens du doyenné d’Adjarra se retrouvent autour de leurs pasteurs pour les mêmes motifs. Témoigner de la maturité d’une foi  toujours grandissante, honorer la mémoire des missionnaires et surtout reconnaître la qualité de leurs œuvres.
Chers amis, débarquant le 18 Avril 1861, les pères Francesco Borghero et Francisco Fernandez étaient loin d’imaginer la portée lointaine de leur témoignage. Une aventure, mieux, une ambition de jeunesse vite sanctifiée par leur foi en Jésus Christ: voilà chers amis ce que c’est que d’être jeune! Or, la jeunesse aujourd’hui titube encore face au défi de l’évangélisation. Elle préfère les influences perverses de la société à un choix de vie radical centrée sur Jésus-Christ. Pour l’heure, suivons sans conditions les traces de ces héros. Leur désir de jouer à qui perd gagne nous ont tracé des sentiers pratiques pour vivre et annoncer l’Evangile. Partons nous aussi en conquérants joyeux porter la foi partout et ailleurs. Vivons désormais l’impératif du Pape Paul VI à notre continent: « Africains, soyez vos propres missionnaires ». Tout en nous rendant compte du chemin parcouru, des réalisations et des projets, repartons de nouveau avec le Christ. Bonne fête!
Je vous bénis!
Père Christian DOSSOU
Curé doyen d’Adjarra
A LIRE ABSOLUMENT…
JEunesse évangélisatrice ?
Lettre ouverte à la jeunesse d’Adjarra du XXIème siècle
Chers amis,
Le monde de vitesse dans lequel nous vivons aujourd’hui inquiète beaucoup. La mentalité contemporaine ou celle qui ressort d’une société sclérosée nous plonge gravement dans le gouffre et la confusion totale. Les valeurs morales sont bafouées et les repères éthiques et culturels submergés. Le relativisme culturel dresse le culte de la personnalité et désormais, sont confondus, le religieux et le profane. Cet élan dangereux qui nous prend de gré ou de force enterre notre sentiment religieux et conduit notre jeunesse au tribunal de la raison. Il s’impose alors une prise de conscience pour faire la part des choses et tirer le bon choix.
Tout d’abord, entendons-nous sur ce que c’est que la jeunesse. Redéfinissons ce qui, apparemment, nous qualifie: La jeunesse est le temps de la vie entre l’enfance et l’âge adulte. Au-delà de cette définition banale et vulgaire, retenons que la jeunesse est avant tout un état d’esprit et une qualité d’âme. Elle n’est pas mesurée par le nombre des années. On peut avoir 50 ans et garder cette flamme, cet enthousiasme, cet entrain qui sont les marques de la jeunesse. Mais, malheureusement, on rencontre aujourd’hui, dans notre civilisation de mort, des enfants de douze ans à peine, qui portent au visage les stigmates d’une ‘expérience’ bien plus vieille que leur âge, triste reflet d’une âme déjà flétrie. Le paradoxe nous émeut, certes, mais sachons-le, il vaut mieux être vieux avec cette fraîcheur d’âme que d’être jeune avec un visage blasé d’une personne âgée…
 Quand on fait référence à l’histoire, on découvre, avec quelle éloquence les premiers missionnaires, ces témoins de la foi ont offert sans condition la fougue de leur jeunesse au Christ, bien sûr au péril de leur vie. Imaginons la plage de Ouidah il y a 150 ans, le 18 avril 1861. Deux blancs… Il devait y avoir des curieux pour observer ces hommes venus d’on ne sait quelle planète. D’où venaient-ils ? Où allaient-ils ? Que venaient-ils faire ? A vrai dire, les Pères Francesco Borghero et Francisco Fernandez n’étaient pas les premiers à tenter l’aventure de l’évangélisation du Dahomey. Des capucins bretons avaient déjà tenté une première présence vers 1640, mais sans pouvoir rester. Quelques années plus tard, une nouvelle tentative de capucins espagnols connut le même échec. D’autres tentatives par des capucins flamands puis par des dominicains connurent la même issue…
Ce défi réalisé par ces jeunes blancs (ils avaient entre 25 et 35 ans) devrait avoir quelque chose de périlleux et devrait interpeler notre conscience et notre foi: les moyens de navigation trop précaires pour affronter les dangers maritimes,  la rigueur du climat, les maladies… rien de tout cela n’avait ébranlé leur conviction de réaliser la recommandation du Seigneur: De toutes les nations, faites des disciples. Cette recommandation a pour nous un regain d’intérêt quand nous nous savons, nous aussi, disciples du Christ. C’est pourquoi, le Pape Benoît XVI, s’inscrivant dans la même pensée du Christ, affirme : « Je vous encourage à avoir les mots qu'il faut pour annoncer Dieu autour de vous, appuyant votre témoignage sur la force de l'Esprit demandé dans la prière. Portez la Bonne Nouvelle aux jeunes de votre âge [...]. L'Eglise vous fait confiance, je tiens à vous le dire ! »
Chers amis, nous sommes tous heureux aujourd’hui d’être bénéficiaires et fils spirituels de ces missionnaires. Comment ou de quelle manière leur sommes-nous reconnaissants? Pas autrement que de leur emboîter les pas et de porter nous aussi la nouvelle aux autres avec dévouement et abnégation. Cependant, en pensant à notre génération, peut-on parler aujourd’hui d’une jeunesse évangélisatrice? Ou sommes-nous dans la dynamique de l’évangélisation?
« Soyez saints, soyez missionnaires ! Soyez prêts à mettre votre vie en jeu pour éclairer le monde avec la Vérité du Christ ! » (Benoît XVI, JMJ 2008). Ces propos du vicaire du Christ sont à prendre comme des panneaux indicateurs de sens pour une vie de porteurs de Bonne Nouvelle. Mais malheureusement, trop de baptisés sont incapables – hélas – d'être enflammés d'ardeur, de certitude et de joie pour le Seigneur-Jésus ; ils se comportent bien souvent comme des « serviteurs mauvais et paresseux » (Mt 25, 26), des hypocrites seulement capables de faire semblant mais incapables de vivre en totale cohérence avec le Magistère du Christ par son Eglise ; d’autres ont heureusement compris les appels énergiques du Bienheureux Jean-Paul II, le Pape des jeunes : « L'avenir de l'Eglise dépend de vous ! L'évangélisation de la terre au cours des prochaines décennies dépend de vous ! Vous êtes l'Eglise ! Rendez l'Eglise jeune, maintenez-la jeune par votre présence enthousiaste. (…) Le Christ a besoin de vous pour proclamer la Vérité, pour apporter l'annonce du salut sur les chemins du monde; il a besoin de votre cœur généreux et disponible pour manifester à tous les hommes son Amour infini et miséricordieux ! (…) Allumez partout la flamme de la foi ! » (Jean-Paul II, 1985). 
 C’est à cela que l’on reconnaît un vrai catholique : à son ardeur missionnaire, à son énergie spirituelle, à ses certitudes, à sa gentillesse, à sa joie et à sa liberté intérieure ! En tant que membres vivants de l'Eglise, il faut absolument prendre conscience que le Christ compte sur chacun de nous pour annoncer au monde la Splendeur de sa Vérité ainsi que le rayonnement de sa Miséricorde infinie sur les âmes, surtout en direction des nombreux jeunes qui errent dans le trouble de ce siècle comme des brebis sans Berger.
De nos jours, de plus en plus de jeunes catholiques vont au devant d'inconnus pour leur proposer l'Évangile. Ce phénomène actuel illustre un mouvement nouveau de l'Eglise catholique, mais qui a besoin du souffle pour se stabiliser: c’est la jeunesse évangélisatrice, s’il faut ainsi parler. Cette nouvelle évangélisation qui se développe, est prise en main par des mouvements de jeunes engagés qui répondent aux appels de leurs pasteurs (prêtres, évêques…) Ce sont là des initiatives de jeunes à encourager, à soutenir et à promouvoir pour que l’œuvre des missionnaires ne s’éteigne pas à cause de manque de foi et volonté.
Chers amis, compagnons d’aventure, convaincus de la même foi, partons en conquérants joyeux pour le Christ. Partons, lançons dans la vie nos forces neuves, mettons l’ardeur de nos jeunes années au service de cet évangile qui transforme le monde parce qu’il agit au plus profond des âmes. Suivez le Christ. Misez pour lui. Risquez pour lui. Votre récompense sera grande dans les cieux.
Nous sommes jeunes!
Rendons l’Eglise jeune!
Maintenons-la jeune!...
Fraternellement, vôtre!
RCS


Découvrons le doyenné d’Adjarra

Paroisse Sainte Famille d’Adjarra
Création : 1901
Curé : Abbé Christian DOSSOU
Vicaire : Abbé Nestor DOCHAMOU

Paroisse Saint Hubert de Missérété
Création : 1968
Curé : Abbé Robert AGBOTON

Paroisse Saint Bernard de Malanwi
Création : 1998
Curé : Abbé Dieudonné BOGNON
Vicaire : Abbé Bienvenu KOUKPO

Paroisse Notre Dame de l’Assomption de Vakon
Création : Septembre 2002
Curé : Abbé Pyrrhus AGONHOSSOU
Vicaires : Abbé Marie-Isidore AKINDES
               Abbé Prosper OLADIPO
               Abbé Thaddée DJOSSOU

Paroisse Notre Dame de Lourdes d’Atchoukpa
Création : Octobre 2003
Curé : Abbé Dominique HOUNGBO
Vicaire : Abbé Axel CHEKETE

Paroisse Immaculée Conception de Mèdédjonou
Création : Septembre 2007
Curé : Abbé Sébastien MEDEDJI
Vicaire : Abbé Bienvenu VIDJINLOKPON

Paroisse de Katagon
Création : Octobre 2008
Curé : Abbé Romaric DAGBA

Paroisse Sacré Cœur de Wadon
Création : 13 Septembre 2009
Curé : Abbé Hervé GBENOU
Vicaire : Abbé Ediel AFFOGNON


EN ROUTE POUR LES JMJ 2011
Chers frères et amis,
Dans quelques semaines, des milliers de personnes, tous âges confondus, se retrouveront à Madrid en Espagne du 16 au 21 Août 2011. Autour du thème: «Enracinés et fondés dans le Christ, affermis dans la foi », le Saint Père ranimera leur foi dans le Christ, et l’espérance qui est la leur. Ce traditionnel rendez-vous universel des jeunes, initié depuis les années 80 avec le Bienheureux Pape Jean Paul II ne manque pas de pertinence. C’est une occasion très noble où de millions de jeunes vivent et partagent leur joie et leur conviction d’appartenir au Christ, l’éternel jeune. Même si nos moyens limités ne nous permettront pas d’être à ce rendez-vous universel, ne manquons pas d’allumer une bougie à cette intention pour qu’à la faveur de cette rencontre, la jeunesse du monde redécouvre le vrai sens de la vie et les valeurs qu’elle recèle. De plus, que nos prières s’intensifient pour la réussite de cette rencontre des jeunes.
RCS
 
 Jeune d’Adjarra rends compte de ton espérance
Voilà quinze décennies (150 ans) que les Pères Borghero et Fernandez, avec la conviction qui les habitait, ont foulé le sol du Danxomè, à Ouidah, le 18 Avril 1861. Leur objectif: ajouter à la longue chaîne d’activités missionnaires déclenchées depuis la recommandation du Christ à ses disciples : «Allez dans le monde entier, proclamez l’Evangile à toute la création » (Luc  16, 15). Quarante ans plus tard, une nouvelle page de l’histoire tourne en faveur d’Adjarra. En Mars 1901, Mgr Paul PELLET, évêque de Lagos (Nigéria), envoie le Père Camille BEL fonder la mission catholique d’Adjarra. Beaucoup d’autres missionnaires succèderont au Père BEL et, avec la collaboration de vaillants autochtones, écriront les premières pages de l’évangélisation d’Adjarra.
Aujourd’hui, tout le doyenné d’Adjarra, avec la ferveur de sa foi, fruit de l’ardeur des vaillants missionnaires s’inscrit, non seulement dans la dynamique des 150 années d’évangélisation du Bénin, mais aussi des 110 ans de grâce pour la foi reçue. 110 années d’aventure, de chemin parcouru, la route est longue! Il n’est point de doute qu’Adjarra n’est pas du reste dans ce long parcours qu’a connu l’Evangile dans notre pays. Et en de telle circonstance, il faut soutenir le paradoxe: revenir en arrière pour aller de l’avant. Ordinairement, notre ingratitude envers l’histoire nous aveugle tellement qu’on a tendance à croire que notre avenir ne dépend pas du passé. Mais à y voir de près, c’est justement ce passé qui fonde notre certitude en l’avenir et nous permet, à la lecture de ce que nous avons vécu, de mieux saisir et de mieux appréhender ce qui adviendra. Autrement dit, il s’agit d’un regard rétrospectif sur le passé pour prévenir l’avenir.
Dans cette perspective, nous devons nous interroger sur la gestion de l’héritage que nos pères nous ont laissé depuis de nombreuses décennies. Et cette entreprise de reconnaissance et de gestion revient de droit à la jeunesse, puisque l’avenir lui appartient et ne peut être pensé sans elle. Jeunes d’Adjarra, qu’avez-vous fait de la foi que vous ont léguée tes pères ? Quels fruits en avez-vous personnellement récoltés ? Comment comptez-vous rendre désormais compte de l’espérance qui vous habite ? Pour ce projet d’avenir, il importe pour tout un chacun de vous de vraiment saisir le sens de la foi que Dieu vous donne et qui vous fait espérer en lui. La foi n’est pas un jeu d’hypocrisie ou de comédie qui autorise à se montrer chrétien le jour et se livrer la nuit  à des pratiques obscures, indignes de votre appartenance au Christ: (Fa, Zangbéto, Egun, Oro…). La foi n’est pas non plus un bien utilitariste qui ne recherche que l’efficacité : produire de l’argent, guérir des maladies, réussir à l’examen, etc. Ce sont là des comportements qui résultent d’une mentalité du ‘‘clic’’ et qui cherchent à tout prix à se satisfaire d’un résultat « hic et nunc » (ici et maintenant). La foi est plutôt un don désintéressé de soi à Dieu. Ce don se traduit dans la vie concrète par une fidélité inconditionnelle à la vie spirituelle et la pratique des sacrements. Aujourd’hui, il n’est point besoin de porter des jumelles pour constater combien la jeunesse d’Adjarra s’enlise gravement et se plait dans le gouffre du paganisme : manque d’intérêt pour le religieux, absentéisme notoire aux activités de la vie paroissiale, sauf si des intérêts sont en jeu, manque de respect pour le sacré, habillement sexy, attitudes incommodes  et incommodantes à l’intérieur de l’Eglise, bavardage à outrance au cours des célébrations, etc. Tous ces comportements dévalorisants sont pour nous l’indice que notre jeunesse ne s’est pas encore laissé imprégner de la tradition centenaire qui caractérise notre communauté, notre doyenné et qui devait être son repère de vie. Certes, il est honnête de reconnaître l’effort et la foi d’une minorité qui s’évertue pour sauvegarder l’honneur. Cependant, après 110 ans d’existence, les jeunes d’Adjarra ont encore besoin d’opérer un retour aux sources en revisitant l’école des anciens bâtisseurs, porte flambeau de la foi dans notre contrée. La plupart sont morts.  Mais certains sont encore là.  Tous nos hommages à eux pour le précieux héritage que  nous tenons d’eux et qui fait aujourd’hui notre bonheur. Mais plus qu’un hommage, allons redécouvrir en eux les vertus authentiques de vie chrétienne. Cela nous est indispensable pour l’avenir. Aux restes, qui épousent la passivité et qui s’instruisent à la philosophie de la mouche du coche pour s’approprier la victoire comme s’ils avaient pris part à la bataille, nous lançons une fraternelle invitation:
« Guerrier valeureux, porte l’épée de noblesse et d’honneur !
Ton honneur, c’est de courir au combat
pour la justice, la clémence et la vérité ». Ps 44, 4.
Jeune d’Adjarra, prends dès maintenant la résolution de t’arracher à la frivolité
et consacre-toi au combat de l’avenir. Bâtisseur d’avenir, c’est ton vrai nom!
                                       Elie de DRAVO WHANNOU,
A nous la jeunesse!


   LA VIE...
Le jour où tu comprendras que la vie t'appartient,
alors tu choisiras de la vivre selon tes désirs
La vie est comme un miroir des sens,
délecte la dans sa splendeur, elle te donnera sa saveur.
Lorsque l'homme aura compris l'importance de la vie de tous les jours
alors il abordera sereinement son existence
La route de la vie est parfoissemée d'embûches. 
Pourtant l'important est de ne jamais oublier
que les épreuves ne sont rien de plus qu'une occasion de grandir
et d'aller chercher au fond de soi, Une force et un courage
qu'on ne connaissait pas.
PM


POLITIQUEMENT
Chers amis de la jeunesse, il faut absolument le savoir:
la politique a deux visages. C’est pourquoi vous devez savoir quelle relation entretenir avec elle. Pour vous en convaincre, prenez contact avec ce texte. C’est à lire jusqu’au bout.

« Au Gouvernement, nous accomplissons ce que nous promettons.
Seuls les imbéciles peuvent croire que
nous ne lutterons pas contre la corruption.
Parce que, il y a quelque chose de certain pour nous :
L’honnêteté et la transparence sont fondamentales
pour atteindre nos idéaux.
Nous démontrons que c’est une grande stupidité de croire que
les mafias continueront à faire partie du Gouvernement comme par le passé.
Nous assurons, sans l’ombre d’un doute, que
la justice sociale sera le but principal de notre mandat.
Malgré cela, il y a encore des gens stupides qui s’imaginent que
l’on puisse continuer à gouverner
avec les ruses de la vieille politique.
Quand nous assumerons le pouvoir, nous ferons tout pour que
soit mis fin aux situations privilégiées et au trafic d’influences
nous ne permettrons d’aucune façon que
nos enfants meurent de faim
nous accomplirons nos desseins même si
les réserves économiques se vident complètement
nous exercerons le pouvoir jusqu’à ce que
vous aurez compris qu’à partir de maintenant
nous sommes avec notre Président!

Lire maintenant de bas en haut…
En commençant par la dernière ligne et en remontant jusqu’ au début.
De la sublimation! Et pourtant, c’est..... surprenant ! Bonne lecture!
Proposé par RCS


ORIGINE DE LA CRAVATE
Sous le règne de Louis XIV, se forma en France un régiment de cavaleries uniquement composé de Croates. Ces hommes de fière mine portaient autour du cou une grande écharpe terminée de chaque côté par un gland. Cet accessoire plut tant aux gentilshommes que nombre de seigneurs de la Cour l'adoptèrent. Ce fut la "croate" qu'on appela bientôt la « cravate ». Cette mode se répandit peu à peu parmi les officiers. Le 3 août 1692, une armée française, commandée par le vaillant maréchal de Luxembourg, fut soudain attaquée par l'ennemi, à Steinkerque. En hâte, les officiers nouèrent leur cravate et la bataille s'engagea. Ce fut une victoire française. Celle-ci enthousiasma le peuple, qui se mit à porter des cravates "à la Steinkerque", c'est-à-dire mollement nouées autour du cou. Ce furent "les steinkerques". De ce jour, la mode de la cravate fut implantée dans toute la France, et dans le monde aussi bien chez les hommes que chez les femmes !
Encyclopedia Universalis


DISTRACTIONS 
Un fou ramasse un poulet mort et dit : « Je vais te déguster ». Un policier lui dit : « Eh ! Tu ne sais pas que le poulet est mort ? » Le fou répond : « Depuis quand mange-t-on des poulets vivants ? »

Un jour, un païen passait devant un calvaire. Il voit Jésus crucifié et s’adresse à lui : « Monsieur, que faites-vous sur cette croix ? Toutes les fois que je passe par ici, je vous y trouve ! Ah ! Je comprends ! Vous avez sans doute commis une faute pour mériter cette punition ! »

Le maître de chœur, à la fin d’une messe félicitent les ténors en disant:
C'est bien les "ténors"! Vous chantez haut comme si vous étiez avec les anges !
On entend alors une "basse" répliquer:
Alors, nous on est en enfer !

Une église des assemblées de Dieu prend feu et les fidèles se mettent à crier au secours. Un fou qui passait par là leur dit: « mais c'est vous qui criez toujours ici, feu! feu! feu de Dieu descend ! Le feu est là maintenant et au lieu de chanter brûle en moi, vous criez au secours. Bande de menteurs. »

A SAVOIR...
Le coca-cola était vert à l’origine.
Il est impossible de se lécher le coude.
Il est physiquement impossible pour les cochons de regarder vers le ciel.
Si vous essayez de retenir un éternuement, vous pouvez rompre un vaisseau sanguin dans la tête ou dans le cou et mourir.
Le miel est la seule nourriture qui n’a pas de date de péremption.
Un escargot peut dormir pendant trois ans.
Le briquet a été inventé avant les allumettes.


LE CAPITAL DU CŒUR
***
Il y a les capitaux financiers,
le capital intellectuel, les capitaux industriels,
le capital culturel...
Mais y a-t-il un capital du cœur ?
Est-il vrai Seigneur que ce dernier pèse plus lourd
dans la banque de ton Royaume ?
Il y a les surdoués en affaires,
les surdoués en électronique et en mathématique,
les surdoués en sports...
Est-il vrai, Seigneur que tu préfères, surtout,
les surdoués du cœur ?
Est-il vrai Seigneur,
qu'à tout homme, diplômé des grandes Écoles
ou balayeur du métro, blanc ou noir,
pratiquant une religion ou pas,
malade ou bien-portant, jeune ou vieux,
superstar ou inconnu, citadin ou paysan,
tu ne poseras qu'une seule question,
au soir de sa vie :

" Qu'as-tu fait de ton capital d'amour,
de cette capacité d'aimer,
de cette étincelle de ma propre vie,
que je t'avais confiée pour la faire fructifier ?.
Pourquoi as-tu enfoui cet amour
qui devait permettre à tes frères affamés d'amour,
 assoiffés de justice, paumés, prisonniers, étrangers,
d'exister, de grandir et d'espérer. "

Seigneur,
aide-nous à ne pas enterrer ce trésor,
à faire fructifier notre capital d'amour,
le seul à ne jamais se dévaluer sur terre et dans ton Eternité.

Michel HUBAUT